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Pro actif ou réactif ?

Quand nous parlons de nos expériences, aussi mémorables soient-elles, nous ne communiquons qu’une infime portion de ce que nous avons vécu.

Vous l’avez remarqué, il ne suffit pas de se parler pour se comprendre et les mots jouent un rôle fondamental dans nos échanges. Ces prochains jours, je partage avec vous quelques éléments de ma relecture du plein pouvoir des mots de Shelle Rose Charvet. Au-delà de la place essentielle de l’omission, de la distorsion et de la généralisation, déjà évoqués ici, nous tenterons d’en apprendre plus sur nos échanges dans le cadre du travail.

Sommes-nous proactifs ou réactifs ? Prenons-nous l’initiative ? Fonçons-nous parfois tête baissée ? Sommes-nous capables de mener à terme un travail, d’entreprendre une action sans attendre les autres ? Ou, au contraire, attendons-nous que la situation soit bien en place avant d’agir, analysant et étudiant avant de passer à l’action, que nous avons besoin de comprendre et d’évaluer.

Dans le domaine du travail, il est probable que nous soyons également proactif et réactif. Toutefois, nous ferions bien de nous rappeler que 15% d’entre-nous sont proactifs et 15% réactifs. Des observations à prendre en compte depuis le recrutement jusqu’au licenciement et au jour le jour dans l’encadrement. Utiles aussi lors d’un bilan de compétences.





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